Quand l’URSAFF accuse un patron de se servir de ses clients comme employés. On peut se poser la question: « Mais où sont les limites ? ».
Vous avez sûrement entendu parlé de cette fameuse et malheureuse histoire d’une propriétaire d’un bar qui fait l’objet d’un contrôle musclé de la part de l’URSAFF sous prétexte que sa cliente ait déposé elle-même ses verres sur le comptoir.
Comme le relevait très bien un membre de notre groupe Facebook : « J’en connais certaines (des franchises) dans lesquelles c’est les clientes qui se sèchent les cheveux. » Ceci est officiel et les franchises affichent bien des prix moins élevés car elles annoncent clairement ne pas fournir ce service, ce serait pour nous la limite supposée.
Mais si l’on reprend notre histoire de cliente déposant son verre au bar, nous rejoignons les inquiétudes de l’avis du membre de notre page Facebook: « Que dire aussi si vous avez le malheur de laisser votre cliente poser ou retirer seule son manteau sur un cintre? Sont-ce des travaux dissimulés et comme pour ce gérant de bar, un rappel Ursaff à la clef ? »
Pour le coup, nous n’avons pas les réponses à ces questions. Nous trouvons cela un peu absurde que l’URSAFF entre en jeu dans ce genre de cas. Et vous, qu’en pensez-vous?