Ces trois socio-coiffeuses ont choisi de mettre leur vie professionnelle au service des personnes en difficulté. Avec une passion et une générosité sans limite.
Alexandra Wollensack
« Se lancer dans la socio-coiffure, c’est passer du paraître à l’être. Nous entrons dans l’intimité de nos clients », explique Alexandra Wollensack, 34 ans, prothésiste capillaire au sein du groupe Aderans. Comme Christine Rebeca et Vanessa Maisonnier, elle a choisi de mettre son talent au service de personnes malades, en situation de handicap ou isolées socialement.
Toutes trois ont choisi la coiffure, dès le plus jeune âge, une vocation qui les
a conduites à prendre soin des autres.
Chacune pour des raisons différentes. Quand Alexandra s’est réorientée pour combler un manque dans son quotidien, Vanessa, 37 ans, fille de coiffeuse, a voulu se sentir plus utile.
Christine Rebeca
Après trente-trois ans d’expérience dont dix ans de chef d’entreprise, Christine a dû se reconvertir. « J’avais 50 ans, je souffrais de maladie professionnelle.
Mon monde s’est écroulé car j’aimais mon métier. » La maladie d’une amie et un bilan de compétence vont lui ouvrir une nouvelle voie, celle de….
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Bonjour pouvez vous m’indiquer un salon de coifffure sur lyon qui ulilise le calligraph cut merci
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