Si les clientes et les clients ont l’habitude de confier leur tête à leur coiffeur(se) attitré(e) les yeux fermés, cette fois, c’est le coiffeur lui-même qui se bande les yeux pendant ses prestations ! Remigio Morelli est un coiffeur qui sort de l’ordinaire, un passionné de la coiffure qui vient du nord de l’Italie.
Des performances qui ont fait le buzz sur le web
Remingo Morelli a fait le buzz sur le web avec sa maestria manuelle hors du commun en matière de coiffure. Cet Italien qui vient de la province de Lecco fait parler de lui avec ses performances de coiffeur les yeux bandés. Le buzz a commencé quand LeccoToday, une presse locale à Lecco, a fait part des prouesses de Remigio Morelli, et que la nouvelle a fait son petit effet dans toute l’Italie. La France et l’Angleterre ont également été de la partie grâce à MinuteBuzz et Newsflare. Résultat, la vidéo a rapidement fait plus de 390 000 vues sur le web.
Une longue expérience depuis les années 1980
Ce coiffeur reconnu dans le monde des professionnels est barbier depuis 1981, et dispose donc d’une longue expérience de près de quarante ans. « J’ai commencé à travailler en tant que barbier lorsque j’étais vraiment jeune et, à 24 ans, j’ai décidé d’avoir mon propre salon. » Sa persévérance a payé puisque selon ses dires : « Le succès international m’a enfin atteint, grâce à mes performances les yeux bandés, le pouvoir du web a montré au monde une technique que mes clients ont longtemps appréciée. » Outre son grand succès, il possède également un salon de coiffure baptisé « L’Etro », dans la ville d’Olginate.
Le message de ce coiffeur peu ordinaire
À travers ses exploits et ses réalisations capillaires à l’aveugle, Remigio Morelli veut faire passer un message à ses pairs : « On peut réellement cultiver le talent de barbier, en nous. » Mais aussi : « À travers le professionnalisme, la confiance en soi et la passion, le succès peut être à portée de main, ce n’est pas un jeu, ça prend du temps, de la responsabilité et, bien sûr, la confiance de la part de mes clients ! »
Merci Biblond