La discrimination
En 2002, alors que je manage Toni&Guy, un petit groupe de coiffeuses exprime sa grogne. Elles trouvent anormal que leurs commissions soient inférieures à celles des coiffeurs de sexe masculin. C’était parce que le prix de la coupe homme était moitié moins élevé, mais les clients choisissaient plus souvent une coiffeuse qu’un coiffeur.
Pour éviter toute discrimination, j’ai donc décidé d’aligner les prix hommes sur ceux des femmes, même si le risque était de perdre la clientèle homme !
Cette dernière représentait 15% du chiffre d’affaires, mais en augmentant le prix de moitié, et avec 50% de clients en moins, ça fonctionnait de la même façon…
Avec moins de travail !
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Uniformiser les prix
Plus de quinze ans après, quelques salons ont suivi le mouvement en admettant qu’il est anormal d’avoir deux tarifications en raison de la longueur des cheveux ou du « brushing ». Nous sommes tous payés au temps. Ensuite, c’est une question de méthode à remettre au goût du jour avec une formation. Il n’est en tout cas plus question de différencier les deux sexes, d’autant que de plus en de femmes portent les cheveux aussi courts que les hommes !
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En premier nous voulons plus d efficacité de la part de l unec et pas se reveiller d’un coup pour une voie qui ne sera jamais entendue il faut une concertation avoir des points communs …
En premier nous voulons plus d efficacité de la part de l unec et pas se reveiller d’un coup pour une voie qui ne sera jamais entendue il faut une concertation avoir des points communs …
je participe merci!!! on croise les doigts!
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