Aussi loin qu’il s’en souvienne, Thierry Deschemin a toujours voulu être coiffeur. Après avoir fait ses armes à Montpellier, il conforte son savoir-faire dans des maisons prestigieuses : Lucie Saint-Clair, puis Carita, le salon de Jean Siberny et celui d’Alexandre Zouari, avant de devenir coiffeur studio pendant douze ans. Ce n’est qu’en 2009 qu’il décide d’ouvrir son salon, où il oeuvre en solo comme il l’avait imaginé. Parallèlement, ce coiffeur au grand coeur participe bénévolement au spectacle des Enfoirés depuis vingt et un ans. Il revient pour Biblond sur les anecdotes marquantes de sa vie en salon.
CRÊPAGE DE CHIGNON
Juché sur un tabouret, Thierry Deschemin a débuté sa carrière à l’âge de… 4 ans dans le salon où sa mère venait se faire coiffer. « Je faisais les shampooings et j’étais la coqueluche des clientes. Je n’ai pas choisi ce métier, c’est lui qui m’a choisi», affirme-t-il.
À 18 ans, ses diplômes en poche, notre jeune coiffeur plein d’ambition officie dans le salon Tonique Coiffure de Montpellier. « Je voulais tout faire, même si je ne maîtrisais pas encore certains gestes », confie-t-il…
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