La possible suppression des diplômes pour exercer le métier de coiffeur fait réagir l’UNEC.
Alors qu’Emmanuel Macron a évoqué la nécessité de faire évoluer le caractère obligatoire de certains diplômes, l’UNEC a lancé l’opération J’AIME MON COIFFEUR. À partir du 1er décembre, les élus seront invités à participer à des leçons de coiffure sur des têtes malléables. Le but ? leur faire prendre conscience que le métier de coiffeur est un art qui nécessite une formation. Dans le même temps, les salons partenaires auront pour devoir de sensibiliser leur clientèle par le biais d’affiches, discussions et leçons.
L’UNEC veut se faire entendre
Choqué par l’image que donne cette loi au métier de coiffeur, le président de l’UNEC, Bernard Stalter, a vivement réagi, précisant que des produits chimiques sont utilisés et qu’ils peuvent s’avérer dangereux en cas de mauvaise utilisation. Contrairement à ce qu’Emmanuel Macron laisse penser, coiffeur est un réel métier qui ne peut pas être exercé sans diplôme. En effet, quelle serait la qualité des prestations et de l’hygiène sans une formation complète et adaptée ?
De plus, les chiffres parlent d’eux-mêmes et la pratique de la coiffure sans diplôme n’apparaît pas comme la meilleure des solutions. Aucun diplôme n’est nécessaire pour exercer la coiffure à domicile, mais l’absence de qualification se ressent dans le revenu annuel moyen. Celui-ci s’élevait à 10 500€ en 2013.
Tout n’est pas à jeter…
La loi Macron 2 vous déplaît, mais il y a quand même des points positifs à retenir. Parmi eux, la modernisation et l’intégration des nouveaux outils numériques dans les salons de coiffure. Site internet, prise de rendez-vous sur le web ou encore utilisation de tablettes et de logiciels, la révolution numérique est en marche. La présence sur le web et l’évolution de la consommation fait partie des enjeux que devront gérer les salons de coiffure s’ils ne veulent pas disparaître.
Arête la vente libre de ses messieurs Franck provost et dessange et compagnie car une cliente devant ses rayons de grande surface peut faire se qu’elle veux sur sa tête le tout sans diplômes
faux, il faut au moins un CAP pour exercer à domicile
Le CAP est un diplôme technique et le BP (niveau bac) un diplôme renfort technique et outils de : gestion, administratif, compta, social, juridique , complémentaires pour de futur artisan, chef d’entreprise ou salarié à responsabilités. TROP D’ECHECS dans l’artisanat sont dus à un manque de formation technique et de compétences en gestion d’une entreprise (niveau BP ou BM)
Pourquoi 80% des jeunes sont amenés au Bac, et que, un artisan aurait un socle de compétences inférieurs pour évoluer, se reconvertir, poursuivre sa formation tout au long de la vie?
Le BP, C’est offrir toutes les chances de réussir pour développer l’emploi la formation l’apprentissage l’investissement , et ameliorer la qualité de vie professionnelle .EB
moi j’ exigerais un bp pour tout coiffeur et des anneés experiences pour acquerir un niveau professionnel digne a la coiffure meme pour les coiffeur a domicile moi je suis coiffeuse a domicile avec vingt ans de travail en salon.donc sans diplomes c’est dévaloriser le metier