Adulées par les consommateurs, les applis beauté comme Yuka, conçues autour de la transparence des ingrédients et des substances controversées, ne sont pas sans conséquence pour le secteur et le coiffeur. Sauf si celui-ci présente les bons arguments à ses clients. Samy Petot nous aide à y voir plus clair.
Depuis l’apparition de Yuka en 2017, les applis beauté – QuelCosmetic, INCI Beauty, Clean Beauty, CosmEthics… – se sont multipliées et ont révolutionné les habitudes de consommation. Il va sans dire que ces outils sont très pratiques et rapides. On flashe le produit et en quelques secondes, on obtient sa note éventuelle et sa traçabilité.
Selon une étude réalisée en 2019 par Yuka auprès de 230 000 utilisateurs, 83 % d’entre eux achèteraient moins et de meilleure qualité et 84 % se tourneraient, grâce à l’appli, vers des produits plus bruts…
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