C’est globalement une bonne réforme de l’apprentissage qui vient d’être adoptée par le gouvernement. Bernard Stalter, président de l’Unec et de CMA France, en est convaincu : la loi Avenir professionnel est une avancée pour les artisans de France, donc pour les coiffeurs. À un bémol près : un financement à deux vitesses de l’apprentissage se profile. Explications.
- ABONNEZ-VOUS pour lire cet article
- Déjà inscrit? S'identifier
