Lakmé lance sa nouvelle coloration permanente sans ammoniaque, Chroma.
« Ce qui est important chez Lakmé, c’est la fibre capillaire. Aujourd’hui la coloration doit être traitée comme un soin »Des marrons, des cuivrés et des blonds plus perlés. Pour ce printemps/été, la tendance de coloration sera celle du retour au naturel ou ne sera pas ! « La clientèle est de plus en plus exigeante, constate Alexandre Nikolic président d’Arkosmetics et représentant exclusif de la marque espagnole. Elle souhaite avoir une coloration qui dure plus longtemps, plus brillante et plus soyeuse, mais aussi plus naturelle et plus saine. » Du coup, les techniques seront, elles aussi, plus discrètes et moins marquées. La preuve avec le lancement de Chroma, gamme de coloration sans ammoniaque de la marque, et dont les deux principes actifs principaux, VibraRiche et Betafin, sont extraits de composants naturels.
Excellence et exigence technique
Il faut dire que chez Lakmé, on ne plaisante pas avec la coloration. « Nous sommes très pointilleux, précise Alexandre Nikolic. Ce qui est important chez Lakmé, c’est la fibre capillaire. Aujourd’hui la coloration doit être traitée comme un soin. Trop de mauvaises habitudes ont été prises. C’est pourquoi nos gammes offrent un panel de possibilités aux professionnels pour obtenir un excellent résultat tout en respectant le cheveu. » Et Lakmé n’a pas attendu Chroma pour appliquer ces principes : ses deux autres gammes ont elles aussi une formulation de protection spécifique. Ainsi, Collage, coloration d’oxydation permanente, intense et composée de 120 nuances, utilise la protéine de soja qui a un effet protecteur et réparateur sur la fibre capillaire.
Gloss, coloration semi permanente et sans ammoniaque qui compte 46 tons différents, intègre l’huile de jojoba dans sa composition. Dans le secteur très concurrentiel de la coloration, Lakmé prend un pari audacieux : celui de prendre son temps avant de sortir ses produits pour garantir l’excellence et l’exigence technique. « Nous avons toujours refusé de prendre les coiffeurs pour des cobayes dans un but mercantile, déclare Alexandre Nikolic. Il aura fallu sept ans de recherche et de développement avant de sortir Chroma. » Et cette stratégie semble être appréciée par les professionnels et la clientèle : « tous les coiffeurs partenaires de la marque ont pu doubler leur marge ».