Dans la série des solutions pour passer la crise due à la Covid-19, voici la 4e possibilité que je vous propose…
Pour rappel… Solution 1 : Service de visioconsultation payante (Biblond 86), solution 2 : Ouvrir un business de formation (Biblond 87), solution 3 : Devenir coiffeur privé (Biblond 88)
Voici la solution 4 : Ouvrir un salon fantôme ! L’ouverture d’un salon, digital à 100 %, qui n’existe pas physiquement, un e-salon ! Il peut, en cas d’arrêt, se dématérialiser, générer des revenus et fonctionner avec un personnel réduit ! Et pour que ce soit concret, il faut une structure, des murs, une clé et une stratégie du contenu à vendre…
#1 STRUCTURE Un bon LOGICIEL de réservation en ligne permet de réserver et de payer à distance. Il est préférable qu’il soit un tout-en-un. Réservation en ligne, paiement en ligne, e-shop, logiciel de caisse.
#2 MURS L’E-SHOP doit permettre de consommer à distance, de payer d’avance, servir d’hébergement…
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Article très pertinent comme toujours et complètement dans la mouvance de la profession.
Je rejoins cette idée de salon 2.0, (je préfère ce terme à « fantôme » qui pour moi sonne le glas d’une mort annoncée, alors même que les salons sont majoritairement en situation de survie ! Sorry ;)).
Aujourd’hui, avoir son site avec un shop me paraît absolument indispensable. C’est même la base, alors que beaucoup de coiffeurs n’ont même pas une fiche Google my Business à jour ! Les écarts se creusent…
Par contre, pour les ventes, je pense que les marques devraient jouer le jeu de l’affiliation. Système sous développé dans la profession et pourtant qui fait ses preuves dans d’autres domaines comme le sport, le bien-être ou encore le numérique. Je pense que c’est une des clés. Le sujet est vaste et les solutions nombreuses…
Bravo et merci, Stéphane, d’ouvrir cette brèche.
Article très pertinent comme toujours et complètement dans la mouvance de la profession.
Je rejoins cette idée de salon 2.0, (je préfère ce terme à « fantôme » qui pour moi sonne le glas d’une mort annoncée, alors même que les salons sont majoritairement en situation de survie ! Sorry ;)).
Aujourd’hui, avoir son site avec un shop me paraît absolument indispensable. C’est même la base, alors que beaucoup de coiffeurs n’ont même pas une fiche Google my Business à jour ! Les écarts se creusent…
Par contre, pour les ventes, je pense que les marques devraient jouer le jeu de l’affiliation. Système sous développé dans la profession et pourtant qui fait ses preuves dans d’autres domaines comme le sport, le bien-être ou encore le numérique. Je pense que c’est une des clés. Le sujet est vaste et les solutions nombreuses…
Bravo et merci, Stéphane, d’ouvrir cette brèche.