Biblond, pour les coiffeurs ! 
Generik, la marque low-cost de produits capillaires à destination des coiffeurs, vient d’inaugurer son tout nouveau centre logistique dans les Yvelines.
Nouveau centre pour de meilleurs délais de livraison
Generik poursuit son développement. La marque française de produits capillaires low-cost a accueilli, le lundi 7 septembre 2015 à Méré (Yvelines), pas moins de 150 personnes pour leur faire découvrir leur tout nouveau centre logistique. Composée de deux bâtiments s’étalant sur 5000 m2 de terrain, cette structure flambant neuve rassemble plus d’une vingtaine de collaborateurs et sert principalement au stockage des produits, mais pas seulement. Le véritable objectif est de réduire le délai de livraison des commandes à 24h seulement pour livrer n’importe quel salon de coiffure en France. Un investissement financier conséquent (1,9 million d’euros), mais nécessaire pour maintenir la qualité de leur service. « Nous avons fait le choix d’investir dans du patrimoine », déclare à la presse Bruno Mocher, l’un des deux fondateurs.
La qualité de service avant tout
En plus de ce nouveau centre logistique, Generik dispose de plusieurs services afin de répondre à l’exigence croissante des professionnels de la coiffure. Entre autres : un site Internet sur lequel ils peuvent passer commande, un showroom situé à Paris pour qu’ils puissent acheter directement les produits et un call center afin de leur proposer continuellement des offres promotionnelles.
Une marque low cost en pleine expansion
Créée en 2004 par Delphine Mocher (responsable RH, de la création et des lancements de produits) et son frère Bruno (gérant et chargé de développement), Generik est une entreprise française qui, sensible aux besoins des coiffeurs, propose pas moins de 13 gammes de produits capillaires professionnels low-cost, pour un total de 232 références, et le succès est au rendez-vous. Désormais présente dans près de 12 000 salons de coiffure en France, la marque a vu son chiffre d’affaires augmenter de 23% en 2014, soit un total de 7,6 millions d’euros et il devrait, selon les prévisions de la direction, atteindre les 9 millions d’ici fin 2015.
