Dans vidéo diffusée à l’occasion du congrès de l’UNEC, le ministre de l’Économie avait confiait qu’il maintiendrait le BP. Une annonce qui ravit Franck Provost, président du CNEC.
« Suite aux propos de M. Macron, le CNEC est rassuré quant à la loi SAPIN (ex Loi Macron). Toutefois, pour permettre une égalité de compétences dans les modes d’exploitations ainsi qu’une meilleure garantie sécurité et santé à l’égard des consommateurs, le CNEC ne sera complètement satisfait qu’à partir du moment où les mêmes exigences de diplômes seront obligatoires pour tous, quelle que soit la forme d’installation.
Par rapport aux voies d’accès aux CAP et aux autres activités et pour répondre à un certain nombre d’interrogations sur la capacité des professionnels, le CNEC, conscient des évolutions inévitables, privilégie le fait que les formations soient adaptées aux profils des apprenants et répondent aux besoins des entreprises par des formations diplômantes bien sûr mais aussi qualifiantes type CQP. Le CNEC a d’ailleurs été l’un des précurseurs dans la création de modules qualifiants liés au management : le « CQP manager de salon de coiffure ». Il conviendrait aujourd’hui d’élargir ces modules de formation qualifiants CQP à l’aspect technique de la profession, pour permettre à tous les parcours, l’accès à cette qualification technique indispensable pour assurer la santé et la sécurité des consommateurs.
Le CNEC reste prêt à proposer des adaptations afin de concevoir les meilleurs modules qualifiants. »
Bonjour,je pense qu’il faudrait également exiger un brevet professionnel aux coiffeuse a domicile car normalement elles ne doivent pas faire de la thecnique si elles ont que le cap or cela n’est pas surveillé.Je suis coiffeuse à domicile depuis 6 ans et avant j’avais un salon pendant 10 ans j’ai le brevet professionnel.
Bonsoir Sandrine je suis tout a fait d’accord avec vous. Moi même coiffeur pendant 45 ans. Maintenant ma fille a repris les reines. Et elle a son BP.Bon weekend denis