Pas si simple de se lancer aujourd’hui sur le marché de la coiffure. Les banques rechignent à prêter de l’argent et les consommateurs semblent bouder les salons. Alors entre le modèle de la franchise et celui de l’indépendance, pas simple de choisir. Biblond vous dresse le tableau des avantages et des inconvénients de chacun d’eux, témoignages de coiffeurs qui les ont testés ou développés à l’appui.
Il y a peu, un post de Pascal Groupe attirait l’attention sur le réseau LinkedIn avec une vidéo dans laquelle le fondateur du Groupe PC apparaissait aux côtés de Nadine, une salariée de l’un de ses salons franchisés. Nadine, coiffeuse depuis quarante-cinq ans, a tenu son propre salon pendant dix-sept ans à Grasse avant de le revendre, fatiguée de crouler sous les tâches administratives et incapable de rembourser le prêt garanti par l’État qu’elle avait contracté pendant la crise de la Covid-19. Nadine, c’est du pain béni pour Pascal Coste car aux yeux de celui-ci, elle n’est pas une exception, loin s’en faut. « Les coiffeurs de plus de 50 ans qui veulent aller jusqu’au bout de leur carrière sont les bienvenus dans nos salons, lesquels sont devenus des valeurs refuge car les coiffeurs y trouvent de la sécurité », affirme Pascal.
L’histoire met ainsi en avant l’un des fondamentaux qui assure le succès de la franchise : des salons dont le concept a été éprouvé par le franchiseur et qui sont soutenus par un groupe capable de leur fournir une multitude de services.
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