Avec des grandes vacances plus courtes, la multiplication des longs week-ends et le télétravail, la vente des produits solaires stagne. Conseils de Biblond et de Christine Alves pour mettre en valeur ce marché.
Les solaires capillaires sont plus anciens qu’on ne le croit souvent. Dès 1974, c’est le groupe Alès qui lança le premier en forme de burette d’huile : sa ligne Phytoplage était née.
Depuis, les protocoles de soins se sont étoffés. Les sprays protecteurs sont légion, comme les coiffants.
Cet été, des formules innovantes sont lancées, comme le nouveau fluide d’été multiusage 10-en-1 Sun Protect de BC Bonacure proposé par Schwarzkopf Professional. Ou encore les produits cheveux Sun Care Styling Lacquer de la Biosthétique, une laque solaire, sans aérosol ultrafine ou le Sun Care Conditioning Spray.
Les filtres UVA et UVB hydrophobes protègent la couche de kératine sensible des cheveux, un facteur nourrissant intégré qui apporte aux cheveux une protection supplémentaire et une brillance. Les produits sont Coral Safe, soit sans impact pour les fonds marins. « Le spray Solar Helios de SP, résistant à l’eau est toujours aussi magique. Tout comme l’huile multifonction Sun Oil qui fait un tabac auprès de nos clientes. Très pratique aussi, le shampooing cheveux et corps Solar qui s’utilise quotidiennement », souligne Christine Alves.
Plus qu’un simple bénéfice plaisir, ces produits permettent de doser la formule au plus juste. Pourtant, malgré les innovations constantes et la performance des produits, la vente a tendance à stagner. « Les solaires capillaires sont très efficaces, mais comme il n’y a pas le même danger visible que pour la peau, beaucoup s’en passent. Cependant, l’idée fait son chemin depuis deux ou trois ans, constate Christine. Et comme je dis souvent, un ébéniste ne fait pas un beau meuble avec du boispourri. » D’où la nécessité de jouer la carte de la…
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