Avec des exigences de plus en plus élevées, l’internaute confirme sa place au centre de l’expérience client. Pourtant, faire écho à ses besoins avec un concept fort en émotions et un service irréprochable ne suffit plus… Le client 2.0 tient aussi les manettes pour guider ses choix jusque dans votre fauteuil… ou pas !
Aujourd’hui, pour réussir l’enjeu de ce phénomène viral, il faut aussi que votre salon soit motivé par une mission. Oui, une mission, la nouvelle norme à suivre pour gagner et conserver la confiance de votre public, car nous vivons tous dans l’économie de l’expérience. D’où l’émergence d’un nouveau variant : la communication responsable (ou éco-communication). Analyse du passage obligé en 4 shoots !
Shoot 1 : la com’ du basculement
Certes, le retour aux fondamentaux de la com’ par un vrai engagement pour développer du lien social n’est pas nouveau. Mais la communication responsable, c’est plus qu’une méthode, c’est un concept qui repose sur les trois piliers de la RSE(1) : l’économie, le sociétal et l’environnement. Pour faire simple, tu dois reconsidérer ton salon comme un écosystème de valeurs basé sur le développement durable, l’économie locale, la diversité, le bien-être au travail et la lutte contre la corruption. La souche de l’éco-communication n’est donc pas seulement verte, elle est aussi circulaire, éthique et résolument tournée vers la génération Z. La génération du basculement décidée comme jamais à changer sa manière de consommer et de se comporter au quotidien, parce qu’elle le veut bien !
Shoot 2 : la viralité positive
On ne va pas se mentir, la stratégie d’une communication responsable est de valoriser encore plus l’image de ton salon pour attirer les plus rétifs : les moins de 30 ans. Le but est de marquer les esprits et de favoriser l’émergence d’ambassadeurs débordants de viralité positive. Mais attention mon cachou, ici pas de bla-bla : de l’engagement, de la sincérité, de l’authenticité et surtout des preuves à tour de bras ! Inutile d’y mettre la forme sans un fond de cohérence entre ton savoir-faire et ton savoir-être. Le « consommacteur » 2.0 n’est pas dupe et renifle le greewashing et le fairwashing même masqués sous de…
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