Barber : le hair tattoo

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Lancé dans les années 1970 aux États-Unis, très populaire dans les années 2000, le phénomène du hair tattoo prend de l’ampleur, plus arty que jamais. Antonio Mastroberardino et Joris Davoine décryptent la tendance.

 

 

L’inspi ?

« C’est un mouvement qui vient des États-Unis. L’Europe, à la traîne, rattrape son retard. Ce “Peace” rose, je l’avais réalisé au début de la guerre en Ukraine. Il a fait deux millions de vue et il a été repris partout dans la presse et même dans le New York Times. »

Selon Antonio Mastroberardino*

Niveau de difficulté : 8/10

« C’est assez technique. Il faut trouver la bonne position, assurer la symétrie et la précision du dessin pour gérer tous les détails. »

Le + : C’est une manière de proposer un service rare, exclusif et de conquérir une clientèle très exigeante, comme les footballeurs ou les célébrités. Il ouvre aussi les portes des studios ou de la Fashion Week, donc du voyage ! Et permet de proposer une prestation assez chère, environ 400 euros. Cela donne de la valeur au travail du coiffeur.



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Catégories: Actualités