Littéralement « Low Cost » signifie « bas coût ».
Une stratégie qui gagne du terrain depuis la crise de 2008. Quand le fossé entre les classes sociales se creuse, seule une poignée de privilégiés profitent de service hyperluxe. La plupart des consommateurs, inquiets de la vie chère, menacés par le chômage et affichant budget et salaire réduits, entendent consommer « malin », c’est-à-dire payer au prix juste un service de qualité à condition que ce soit dans le respect des lois sociales.
La boîte à outils du low-coster
- Simplification de l’offre pour gérer de gros volumes et réduire la facture.
- Standardisation des produits.
- Mise à contribution du consommateur pour gagner du temps.
- Accessibilité sur Internet pour une disponibilité 24h/24.
- Réduction de la masse salariale et des loyers par la plate-forme de commerce en ligne.
- Annulation du superflu : packaging plus simple, options non disponibles, réduction du nombre de références.