En plein confinement, ce coiffeur alsacien, à la tête d’un réseau de 200 adresses dans 11 pays sur 4 continents, nous a livré ses pistes de réflexion pour revaloriser le métier qui le passionne et l’anime.
« La coiffure est toute ma vie. » Il suffit de le lancer sur le sujet au téléphone, en début de confinement, pour que le verbe s’accélère. Le désarroi est là, certes, mais la passion reste intacte. Pour Yannick Kramer, cette histoire commence en 1976 à Hatten, petit village de l’Est. Il a 15 ans quand il fait ses débuts auprès de son père. Brevet de Compagnon puis de maîtrise en poche, il se forge une identité artistique, qui séduit Jacques Dessange, pour qui il accomplira…
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