La pandémie de Covid-19 aurait pu laisser toute une corporation sur le carreau…
C’était sans compter sur la pugnacité d’une armée de formateurs. Ensemble, ils ont profité du confinement pour se réinventer en créant une éducation nouvelle, à distance.
« Il y aura eu un avant et un après. Le 14 mars 2020 marque un tournant pour la profession », insiste Stéphane Amaru. À la tête de son entreprise de
formation, cet hyperactif a vu le moment où il devrait attendre le mois de septembre pour pouvoir exercer son métier. « Il a fallu trouver une porte
de sortie. Car même avec une reprise d’activité, la formation serait passée au second plan. » C’est toute une armée de formateurs qui s’est alors mobilisée pour appuyer le financement de la formation à distance, regroupés sous CutMeGo, première communauté d’organismes de formation, dont Erik Dumon, via Educattitude, est le médiateur auprès des financements publics et le garant « qualité » concernant la future norme Qualiopi exigée par le gouvernement.
À l’origine de cet élan de solidarité, Éric Léturgie, président de la Fédération des centres de formations et des formateurs de la coiffure (FFACE) a largement contribué à inventer l’éducation de demain.
« Dès le lendemain du confinement, j’ai décidé ……….
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On devrait pouvoir tester avec échantillons car très intéressant le fait qu’il n’y ai ni sulfate ni silicone . Partenariat avec birchbox ou échantillon dans les salons Allure? En tout cas, ça donne envie d’essayer
On devrait pouvoir tester avec échantillons car très intéressant le fait qu’il n’y ai ni sulfate ni silicone . Partenariat avec birchbox ou échantillon dans les salons Allure? En tout cas, ça donne envie d’essayer
Voilà une femme qui sait vraiment de quoi elle parle ! Tellement vrai de constater tous ces salons qui s’équipe d’un fauteuil de barbier juste pour être dans l’air du temps, sans savoir réellement si ils ont la capacité et la cientèle pour dévelloper et rentabiliser ce service, qui au demeurant est un vrai concept. La faiblesse des coiffeurs : la dispertion…
Voilà une femme qui sait vraiment de quoi elle parle ! Tellement vrai de constater tous ces salons qui s’équipe d’un fauteuil de barbier juste pour être dans l’air du temps, sans savoir réellement si ils ont la capacité et la cientèle pour dévelloper et rentabiliser ce service, qui au demeurant est un vrai concept. La faiblesse des coiffeurs : la dispertion…
Bravo pour ce virage vers l’écologie 😉 Belle réussite !
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