C’est un ouvrage d’une sociologue caribéenne qui a mis le feu aux poudres. Peau noire, cheveu crépu : l’histoire d’une aliénation montre que lisser ses cheveux lorsqu’on est frisée remonte à l’esclavage, époque ou le lissage permet d’améliorer sa condition.
Le mouvement politique « Black is beautiful » intègre ce livre à son débat. Et Andréa Pippins monte le projet I love my hair, pour encourager les Afro-Américaines à aimer leurs cheveux crépus.
Qu’en pensent les coiffeurs ?
source Glamour Paris