Il y a la banane du rocker, la crête du punk, l’aileron requin de l’amateur de tecktonik, les dreadlocks que les artistes refont plus ou moins bien dans leur loge avant le concert.
Moins évident sur un festival où les installations sont moins douillettes que celles d’une salle de spectacle. Christophe Roffi, coiffeur créateur à Belfort, collabore depuis quelques années avec le festival des Eurockéennes pour éviter que les rockers n’aient la banane ramollie.
Cette année, Tigi a apporté son soutien au coiffeur pour faire les looks les plus fous aux artistes qui se sont produits sur la scène de Belfort. Une initiative unique en France pour un festival réunissant quand même 80 000 spectateurs sur trois jours !