La contribution des salons aux droits de diffusion de musique s’envole de manière très préoccupante et les coiffeurs se révoltent pour deux raisons…
D’une part, taxer à ce point une profession est une solution de facilité irresponsable.
D’autre part, fonder la rémunération des créateurs et des producteurs de musique sur le racket est un signe de mépris qui souligne le refus d’un vrai débat sur le sujet.
Espérons que le silence dans les salons fera beaucoup de bruit.
Plus d’infos : www.fnc.fr