Dans cet épisode :
- Premier bilan
- fin d’études
- Projets d’avenir
SYLVIA DESCURNINGES 30 ans, en reconversion
« J’ai retrouvé le rythme intense de la formation. On sent que, cette année, on a passé un cap. Mais cela reste très professionnalisant et je suis certaine que tout cela me servira par la suite. Mon projet de fin d’études ?
C’est encore un peu compliqué d’en parler, il bouge sans cesse… J’ai une nouvelle idée toutes les semaines ! Pour l’instant, je suis dans la phase d’étude de marché afin de mieux comprendre ce qui m’entoure. Le futur ? Je veux déjà finir mon apprentissage à l’Atelier Blanc, puis voir ce qui ce propose à moi. Et peut-être un jour travailler à mon compte ? À voir…
Une chose est certaine, je n’ai aucun regret dans mon choix de formation ainsi que dans ma reconversion professionnelle. Si c’était à refaire, je ferais exactement la même chose. Mes souvenirs les plus marquants ? Sûrement le Bootcamp. Je ne pensais pas que ma passion me permettrait d’avancer aussi vite. Puis mon apprentissage à l’Atelier Blanc… Pierre Bissonier et Frédéric Mennetrier ont marqué ma vie, c’est sûr ! Dans dix ans ? Je serai toujours coiffeuse coloriste et les mains dans les cheveux encore et encore. Je veux vivre de ma passion. Le manque de valorisation du métier a fait que beaucoup se sont retrouvés dans la coiffure par défaut, sans passion. Ce n’est pas mon cas ! Je pense que je ne serai jamais blasée. »
NATHAN VALLENET 26 ans, diplômé du CAP
« La dernière session de cours est encore plus intensive que je ne pensais, les cours très intéressants. On sent que la fin approche à grand pas. J’ai eu l’opportunité d’intégrer la Maison John Nollet. Je tiens à remercier Damien Roux, qui, chez Didact, m’a permis d’évoluer et de participer au Mondial, par exemple. Deux années très enrichissantes pour moi. J’y vois plus clair dans mes projets d’avenir. J’espère un jour être chef d’entreprise et monter ma propre structure.
Après le Real Campus, je veux continuer à évoluer. J’ai besoin d’apprendre auprès des plus grands, comme John Nollet. Et, pourquoi pas, dans dix ans vivre de ma passion pour la coiffure, en lien avec L’Oréal ? M’inscrire au Real Campus a été la meilleure décision de ma vie. Sortir de ma zone de confort à Marseille, tenter cette nouvelle aventure… Je le souhaite à tous ce qui rêvent d’être dans le monde de la coiffure. Des souvenirs marquants ? Les inaugurations lors de la première année où nous avons eu la chance de faire de belles rencontres, la Fashion Week, et surtout la solidarité entre nous, les étudiants de la première promo. Pour les patrons, je pense que le Real Campus est une belle opportunité. Le cursus trois mois à l’école et neuf mois en salon peut faire peur. Mais avec de l’organisation, cela se passe très bien. Il faut que les entreprises prennent conscience qu’ils ont des personnes qui ont choisi la coiffure. Cela a tout son sens. »