Le 8 décembre, le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, a tenté de mettre au clair les intentions de son projet de loi. Pour rappel, la loi Noé prévoit de revoir les qualifications nécessaires pour la pratique de certains métiers, dont la coiffure.
« Il est possible de préserver vos atouts et vos savoir-faire tout en valorisant notre potentiel de créations d’emplois, ce qui implique au premier chef de moderniser ce système de qualifications. »
Il est évident que les coiffeurs peuvent préserver leur savoir-faire ! Le problème majeur du projet de loi ne concerne pas les personnes déjà formées et diplômées. Permettre à des personnes, peut-être talentueuses, mais qui n’ont suivi aucune formation, de se lancer dans l’entrepreneuriat sans aucune base, c’est un peu comme « se jeter dans la gueule du loup ». En effet, le problème ne touche pas que la formation de coiffeur. Ouvrir son salon sans aucune formation à la gestion d’une entreprise (gérer les commandes, les clients, une équipe…) augmente grandement le risque de faire faillite.
« La compétence peut s’acquérir par l’expérience et l’obligation de qualification comme préalable n’est donc pas indispensable en soi, au bon fonctionnement d’un secteur. »
Combien de clients repartiront avec une coupe ratée avant que le coiffeur soit formé ? Quand un client entre dans un salon, il vient passer un instant de bien-être et veut quitter les lieux relaxé et satisfait de la prestation. Le mettre entre les mains d’un amateur peut donc constituer un risque certain. Si tout peut très bien se passer, la prestation peut aussi virer au drame. Sans une formation adéquate, la manipulation de soins et colorations chimiques peut constituer un véritable danger pour le client, mais aussi pour le coiffeur.
« La condition de l’excellence, c’est avant tout la compétence, et le diplôme n’a pas le monopole de la compétence »
Peut-être, mais le diplôme assure qu’il n’y est personne d’incompétent à un poste où le service à la personne doit toucher l’excellence.
En réponse à l’Unec, M. Macron a assuré : « Il ne s’agit pas de négliger les compétences et les qualifications, mais de voir si l’exigence d’avoir un BP plutôt qu’un CAP pour s’installer comme coiffeur est justifiée. »
Aujourd’hui, OUI ! Dans un CAP, il n’y a presque aucune formation à la gestion contrairement au BP. Si une telle réforme venait à voir le jour, il faudrait revoir tout ce qui est enseigné lors du CAP pour que la formation soit plus complète.
Moi je suis d avis à ne pas rendre le bp obligatoire pour l’installation !! En revanche comme pour s installer comme auto entrepreneur il faudra passer un stage de gestion préalable à l installation !! La compétence du coiffeur s acquiert quand a elle avec le temps mais ses bases sont forgées durant le cap et non le brevet !! Et croyez moi il y a nombre de coiffeurs diplômes d un brevet qui ont le droit de s installer mais qui sont de vraies billes dans la pratique !
Premier coup de semonce ! Le BP n aurait pas de valeur?!? Écoutez bien centre de formations, Ecoles de coiffures entendez aussi ce message du métier, le niveau d exigence a été réduit, la qualité n y est plus, l exigence de savoir-etre n y est pas non plus regarder chez nos voisins de la cuisine exigence sur le savoir-etre, le savoir-faire le respect des règles et des clients pour qui servir est un objectif, nous n y sommes pas!
Qu en est il des maîtres d apprentissage qui ne respectent pas les jeunes, ils ne respectent pas l avenir, ah oui les jeunes ne veulent plus rien faire, ne veulent pas ci ne veulent pas ca…. Mais qu avez-vous à apporter ?faites leur vivre des moments et des journées intenses vibrantes !!faites leur confiance ils peuvent aussi vous apportez . Sachez écouter comprendre. Enthousiasmez -les vous enthousiasmerez l avenir de la coiffure.
Si quelqu un répond, svp épargnez nous vos déboire avec l une ou l autre. Élevons le débat !!Coiffure relève toi!! Inventons demain!!
il y a surtout une histoire de bille en poche , car pour qui croyé vous que cette nouvelle loi vas t-elle etre le plus exploitable?
tous ces grands groupes qui rèves d’ouvrir un salon par semaine et ce a chaque coin de rue , ils forment leurs jeunes a grand coup de tutoriel , plus besoin de maitre , le dvd suffit ..regardé ce que tous les autres métiers sont devenues grace a toute cette génération de manageurs , force de vente et j’en passe.Espérance d’avenir en tant que salarié maxi 10 ans, condition de travail pitoyable,qualité et savoir faire complètement dévalorisé etc etc
Une seul chose les empèches de ce propager et de laisser un peut de terrain au personnes qui ne souhaites pas porter leurs enseignes et rentrer dans leurs moules..Car notre métier est le dernié de l’artisanat a etre protégé de ces grands capitalistes,grace a l’obligation de passer par la petite porte et d’avoir sa chance comme tous a chacun.Ceux qui joue aux trader avec notre argent et notre santé sous les cocotiers ne ce bougeront jamais le train pour monter un salon,car ils leurs manquent le BP.
Offrez le leurs M Noé et l’arche des 2em artisants de France coulerat
Je rajoute, la France est un des seuls pays qui ne permettent pas que la compétence fleurisse! Si ce n’est pas le seul!Je suis venu en France, il y a 20 ans. Depuis, pour ma liberté de proposer un excellent service et qualité de travail, il est requise de passer par le VAE. Quelle insulte! Je ne vous ferais pas part de mon expérience et qualité en tant que professionnelle de la coiffure ici, mais ici j’invite n’importe quel coiffeur en France , doué et qui adore leurs métiers, à nous dire combien de fois ils ont du reprendre un mauvais travail d’autres couffeurs/ses qui curieusement ont réussi leurs CAP et aussi leurs BP? Il y a pleins! Ils sont nombreux à être très mauvaises et qui n’ont rien à cirer à bien s’appliquer pour la cliente qui pays. Certaines sont simplement pas doué du tout et ne méritent pas leurs diplômes. Alors? Le VAE est un véritable casse-têtes. Surtout, quand à moi, j’ai déjà obtenu mes diplômes, jai assisté à de nombreux cours et séminaires,et j’ai participé sur plusieurs années dans l’art de la compétition de la coiffure, j’ai travaillé dans des grandes structures à Londre, Paris et le cap. J’était guidé et j’ai appris le métier, que j’aime énormément, dans des structures libeller « INTERCOIFFURE » conçu par Alexandre de Paris pour le but de maintenir une image et une application de très grande qualité de notre métier. Oui, et cela était en Afrique du Sud. j’ai également pratiquer le travail de “coiffeur studio” pendant de nombreuses années à Paris.
Je suis d’accord que le VAE doit est appliqué à ceux qui n’ont pas de diplômes ou des études adaptées pour le métier. Mais alors dans mon cas, pourquoi ne sont pas mes diplômes reconnus par la France?
Un ami très proche avec qui j’ai completer mes études exerçant en Angleterre, qui a aussi obtenu les mêmes diplômes et presque le même expérience, aujourd’hui est propriétaire d’un salon de très haute qualité, il obtient des prix d’excellence une année après une autre! La bas, ils n’ont pas ces restrictions inutile comme en France.
Bon sang, libère ce monde de la coiffure pour que, ceux qui ont la compétence, peuvent gérer leurs propres affaires! Il doit être suffisant pour moi de valider mes diplômes (traduit) par la CIEP. Hélas, 3-4 moins pour compléter le livré 2 avec 2-3 heures de travail tous les jours! Pardonnez moi, mais il y a quoi d’être furieux. Je me sens remplie avec désespoir face à cette connerie..Changeons, pour l’amour et le respect de ceux qui ont le talent au aux des doigts, l’intelligence et la motivation face à un système déjà beaucoup trop compliqué et difficile.Dans les autres pays, il est possible d’être propriétaire d’un salon sans toutes ses paperasses. À dire que la gestion est un facteur qui doit décider sa compétence est n’importe quoi. La gestion d’un salon est relativement Basic, vous le savez, on ne gère pas des sociétés complexes.
Je souhaite avoir la liberté d’exprimer cet amour en moi pour mon métier, je ferais tout pour réussir et pourquoi ne pas engager des apprentis et d’autres collaborateurs.
Libère l’économie de ce métier. Peu importe pour ceux qui foirent leurs tentatives, ce qui comptera sera les succès de ceux qui réussissent! Qui sait, la coiffure se réinventera peut-être?
Encourage la compétition et création du metier, non?
….
n’importe quoi. Regardez hors des frontiers de la FRance. Il ne faut pas être nombriliste Yann. Des très grands choses sont accomplie ailleurs sans ces reglementations qu’on trouve en France. Si ce ne sont pas des choses bien plus grandes j’amais réussi qu’en France…
La compétence n’est biensur pas dans les diplomes mais pourquoi y a t il fallu un BP pour s’installé depuis plusieurs decenie cet accord est aussi vieux que je n’etait pas né mais a l epoque il y avais un CAP en trois ans ou le niveau etait bien plus elevée que celui d’aujourd’hui ou les maitres de stage notes les eleves soit dit en passant la note compte pour 50% de la note pratique autant dire qu’il est donné largement .
La promesse social liberal de Monsieur Macron ainsi que son compere M Noé est une erresie effectivement les coiffeur qualifié risque de perdre quelque clientes parce que les coiffeurs qui ne seront pas qualifié par le BP vont pratiqué des tarifs attractifs comme les auto entrepreneurs avec 22% de charges de RSI
La seul revalorisation sera pour les titulaire d’un BP qui veront les clientes massacré par des debutants qui vont rattrapé les degats
Le BP a été largement raboté dans la compétence attendu ainsi les ecoles qui n’arrivent pas a avoir 70% de reussite aujourd’hui ne savent tout bonnement pas enseigné
Le seul diplome qui a été revalorisé en 10 ans c’est le BM qui compte pour BAC +2 ou niveau 3 alors qu’il y a 10 ans seulement il comptais pour niveau 4 BAC
Ce qu’il faut quand meme admettre pour les salarié de la coiffeurs ce sont les salaires bas mais quand on facture de moyenne nationnal entre 30 € et 45 € comment voulez vous payé un salarié convenablement
si les salaire etait plus haut il y aurais moins d’ouverture de salon .